Il dit « être tombé tout petit dans la lecture ». En revanche il affirme détester écrire. Il est pourtant l’auteur d’une quantité d’histoires courtes, rassemblées en plusieurs volumes : Histoires pressées, Nouvelles histoires pressées, Encore des histoires pressées. Plusieurs compagnies professionnelles de théâtre se sont emparé de ces textes pour monter des spectacles, en France et en Suisse. Bernard Friot se définit comme un « écrivain public » : il a besoin de contacts réguliers avec ses jeunes lecteurs pour retrouver en lui-même les émotions, les images desquelles naissent ses histoires. Il attache aussi une grande importance à la traduction de livres allemands pour la jeunesse car pour lui la traduction est un travail de création aussi noble et passionnant que l’écriture.
[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row custom_padding= »43px|0px|28px|0px » column_padding_mobile= »on » admin_label= »Ligne »][et_pb_column type= »4_4″ parallax= »off » parallax_method= »on » column_padding_mobile= »on »][et_pb_text admin_label= »Texte »]Quelques œuvres de Bernard Friot
Carnet du ( presque ) poète, Ed La Martinière jeunesse, 2017 ( Ill. Hervé Tullet). Poésie à partir de 9 ans
Poèmes à dire comme tu voudras, Ed Flammarion jeunesse, 2016, (ill. Amélie Falière)
Moi, je suis un cheval, Ed La joie de Lire, 2016, (Ill. Gek Tessaro)