Le théâtre de Dominique Richard met au jour l’intime, pour mieux être présent au monde.
Dans Nulle part de partout, deux sœurs marchent dans la ville et la nuit. L’aînée déborde de tendre et inquiète sollicitude pour la cadette, qui a perdu la parole, ou parle « comme une langue étrangère… ça doit vouloir dire quelque chose, mais quoi ? » Trop de maux…que soigneront un peu des femmes sur leur chemin… et la lune « qui écoute l’impossible, qui entend les questions sans réponse, qui nous replonge en nous-mêmes et nous redonne la force des mots, l’envie de les partager avec d’autres. »
Cycle 3
Le journal de Grosse Patate, éd. Théâtrales, 2002 (ill : Vincent Debats)
Nulle part de partout, éd. Théâtrales, 2020 (ill : Vincent Debats)